Don’t work too much

Crédit : Hannah Wei pour Unsplash

Mes chères et chers Équilibristes,

Il y a quelque temps, je suis tombée sur un article dans lequel une coach évoquait sa définition de l’équilibre vie pro vie perso. Cette femme, ‘executive coach’ qui accompagne beaucoup de dirigeants et dirigeantes, disait que pour faire simple, la définition qu’elle leur donnait c’était « don’t work too much ».

Je ne pense pas que le sujet se réduise à cette question, mais c’est un très bon point de départ.

Il y a plein de couches là-dedans :

  • Veiller à ce que le travail ne prenne pas « trop de place »

  • La question du temps de travail, de la proportion du crédit de 24h dont nous disposons chaque jour qui est allouée au travail

  • L’énergie que l’on consacre au travail vs. à tout le reste

  • A quoi l’on reconnaît que c’est « trop » - il y a tant d’indices possibles

Bien sûr les réponses à ces questions varient en fonction de chacun et chacune, et au cours de la vie, des périodes. Mais derrière la question de l’équilibre, c’est bien souvent la place que nous voulons que le travail occupe dans nos vies que nous interrogeons.

Ça vous parle, cette définition “don’t work too much” ?

Je suis certaine qu’il y en a parmi vous que cela dérange (j’ai déjà eu de passionnants échanges avec des personnes me disant « bientôt, on va devoir s’excuser d’aimer travailler beaucoup »).

Vous ajouteriez quoi, vous ?

Alors que j’embarque dans ce processus d’écriture de livre (j’ai déjà des choses à vous raconter, mais fidèle à mon habitude, je préfère décanter et prendre du recul que vous proposer une chaîne d’infos en continu – optimiser les chances que ce que je partage vous soit utile), j’ai une excellente raison de me plonger dans la recherche, dans les articles, et dans vos vécus, source d’inspiration sans fin. 

Venez partager ce que « l’équilibre vie pro vie perso » vous évoque avec moi ici – messieurs, allez-y, je n’ai qu’une réponse d’homme pour le moment, alors que je vous vois ! Aidez-moi à continuer à rendre ce sujet le plus universel possible. Je sais qu’il compte pour vous. Tout est bien sûr anonyme si vous le souhaitez, et une occasion pour vous de prendre du recul sur vous – les personnes qui ont répondu aux questions disent avoir beaucoup aimé le faire. Je compte sur vous toutes et tous !

Sinon, j’ai un peu dérogé à ce que je vous avais annoncé la dernière fois, et j’ai 2 épisodes en stock pour vous : un « Places à Prendre » avec mes acolytes Céline Alix et Laetitia Vitaud, et une table ronde que j’ai animée sur les entreprises de demain, et où j’ai bien sûr glissé mes micros. L’enregistrement est assez quali pour que je vous le partage, et les intervenants étaient passionnants. Tout ça arrive, stay tuned!

Allez, je replonge dans mon travail – pas too much, mais enough pour me nourrir, dans tous les sens du terme.

Très bon début de printemps chers et chères équilibristes !

Sandra 

Rediffusion de l’épisode avec Anne-Sophie Vives

En parlant de “Don’t work too much”...

Cette semaine, je vous propose d’écouter ou réécouter le témoignage d’Anne-Sophie Vives, la talentueuse fondatrice de l’association L’Burn, qui accompagne les femmes dans leur reconstruction post burn-out.

On parle des signaux d’alerte, si faciles à balayer dans un quotidien mené tambour battant, de la spirale du surtravail, de l’épuisement, et de la difficulté à s’arrêter quand on a l’impression d’avoir tant donné pour en arriver là où on en est.

On parle aussi du travail que mène l’association, ses bénévoles, ses salariées, autour de la pair-aidance, c’est-à-dire le fait de se faire aider par d’autres qui vivent ou ont vécu des situations similaires, et du travail formidable pluridisciplinaire formidable que fait l’équipe.

Anne-Sophie et son équipe mènent de nombreux projets et initiatives pour mieux prévenir, identifier et prendre en charge le burnout, dans sa dimension systémique (et pas uniquement individuelle). Depuis l’épisode, l’asso a déménagé, essaime en France, et vous pouvez retrouver toute leur actu ici.

Cet épisode avait été enregistré dans le cadre de la semaine du Podcasthon, dont l’édition 2024 se déroule cette semaine. Découvrez toutes les autres associations mises à l’honneur sur leur site.

Weekend WE First

Alexia et Marianna, mes acolytes des 2 premières éditions de Me First, joignent leurs talents pour une expérience inédite en 2024, sous la forme d’un weekend de résidence sur le thème « Transformez votre vision en réalité ».

Un weekend pour vous échapper et revenir canalisée, énergisée et pleine d'idées (et de contacts !) claires, concrètes et alignées pour vous mettre en action. 

Toutes 2 coachs talentueuses (magiciennes, même), elles vous feront vivre pendant 3 jours les outils qu’elles utilisent au quotidien pour elles et leurs clients : mindset coaching, visualisation, manifesting, explorations des futurs, Inner Dance, connexion à votre intuition, … Et comme toujours, de belles surprises avec des intervenantes invitées, de riches rencontres entre vous, et des moments de calme et d’intégration en solo !

Le weekend se déroulera du 26 au 28 avril dans la sublime campagne cognacaise, dans un lieu propice au repos et à l’expansion, La Maison Welcome. 15 places seulement, 650€ TTC tout compris (nuitées, repas, toutes les activités) et vous pouvez prendre votre place ici !

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Un beau projet